Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris;
J'unis un coeur de neige à la blancheur des cygnes;
Je hais le mouvement qui déplace les lignes,
Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris.
Baudelaire
Sur le gouvernement temporel et la gynécocratie. Félix Niesche ©copyright France.
Publié par L'abbé Tymon de Quimonte à 05:10
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